Atelier Egalité Hommes-Femmes du Patadôme
De grands comédiens, Lodoïs & Maïwenn nous ont transmis ce message à travers des jeux théâtralisés très très dynamiques !!!
Nous avons fait un quizz vrai/faux autour de certaines données et pris conscience de cette inégalité :
- Pauvreté/ Argent
- Monde d’hommes
- Violence
Puis, ils nous ont parlé du “Cycle de la violence” qui instaure l'emprise et de ses différentes formes :
La violence se présente sous plusieurs formes :
- psychologique
- verbale
- économique
- physique
- sexuelle
- administrative
Et enfin, nous avons évoqué “le violentomètre”, un outil permettant de « mesurer » si une relation amoureuse est basée sur le consentement et ne comporte pas de violences :
Pour plus de détails :
- https://www.loire-atlantique.fr/44/violences-faites-aux-femmes/le-violentometre-23-questions-pour-reperer-les-comportements-violents-dans-le-couple/c_1358391
- https://www.sosfemmesvendee.fr/les-differents-types-de-violence-conjugale
- https://www.ecouteviolencesconjugales.be/pourquoi-appeler/victime/les-formes-de-violence/
Anaïs de 1MRC1 nous partage ici cette expérience :
« Durant le mois de mars, plusieurs classes dont la mienne ont assisté à des interventions visant à dénoncer les inégalités entre les hommes et les femmes. J’ai vraiment aimé la partie dans laquelle nous nous mettons en scène comme dans un procès. La situation était la suivante : une femme demande le divorce et porte plainte contre son mari pour les motifs suivants : tentative de viols, coups et blessures, …
Nous avons donc joué la scène et c’était très intéressant de voir les différents points de vue.
Cette intervention était une prévention mais aussi un message à nous faire passer car ce n’est pas du simple théâtre mais plutôt des situations qui peuvent arriver tous les jours. Cette inégalité pose un vrai problème dans la société actuelle et cela touche en particulier les femmes. Pour ma part, c’était un super atelier et le faire au lycée est très important car le cas des inégalités, viols, coups, … arrivent plus souvent qu’on ne l’imagine.
Merci,
Anaïs Arakelian »
RIFFI Samrina